Considérer le corps comme un gisement de matières premières à exploiter au service de la croissance : c’est l’approche bioéconomique, peu connue en France. Mais mondialement rentable. (…) La bioéconomie appréhende le corps humain comme un réservoir de pièces détachées (gènes, cellules, organes, tissus)   exploitables indépendamment. La procréation artificielle, par exemple, constitue un marché international pour de nombreuses industries : laboratoires pharmaceutiques et biomédicaux, cliniques spécialisées, laboratoires de séquençage génomique pour dépistage pré-implantatoire, banques de gamètes, agences et cliniques spécialisées en GPA… (Source: Famille Chrétienne).

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