L’expérimentation de nouveaux traitements et vaccins peut prendre des années, voire des décennies, pour recueillir suffisamment de données. C’est pourquoi les scientifiques se tournent vers une approche controversée qui consiste à infecter délibérément des volontaires avec des virus, des parasites et des bactéries potentiellement mortels.

C’était une chose inhabituelle que de se porter volontaire. Mais ils étaient là, un groupe de jeunes adultes attendant d’être attaqués par des moustiques porteurs d’un parasite qui tue plus de 600 000 personnes chaque année.

Le groupe avait accepté de participer à un essai médical à l’Institut Jenner de l’Université d’Oxford, afin de tester un nouveau vaccin contre le paludisme. Le vaccin – connu sous le nom de « R21 » – et même à ses débuts, il suscitait déjà l’enthousiasme des scientifiques (Source: BBC en français).

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