«Les biobanques doivent favoriser le partage de leurs données»

La Suisse compte une centaine de biobanques collectant des échantillons biologiques à des fins de recherche scientifique. Pivots centraux de la médecine personnalisée, ces entités font encore face à plusieurs difficultés, comme l’explique Christine Currat, directrice de la Swiss Biobank Platform. C’est l’un des chaînons essentiels à l’avancée de la Lire la suite…

Des chercheurs envisagent pour de bon de rétrécir les humains pour diminuer notre impact environnemental

Dans le film « Downsizing », Matt Damon accepte d’être rétréci pour ne mesurer plus que 12 cm et diminuer ainsi le risque de disparition de l’espèce humaine. Loin de la fiction, des chercheurs envisagent sérieusement cette théorie depuis plusieurs années. Rétrécir les hommes sur fond d’un scénario comique ou dramatique, ce Lire la suite…

23andMe décode votre génome et le file à l’industrie pharmaceutique

23andMe, entreprise américaine qui propose une analyse du code génétique de ses clients, vient de signer un accord donnant accès à ces données à la neuvième plus grosse entreprise pharmaceutique au monde, GlaxoSmithKline. Cinq millions d’individus sont concernés: ils ont consenti, en cochant une case lors de leur inscription, à ce que Lire la suite…

Édition du génome: des possibilités inouïes qui posent des questions éthiques

L’édition génomique conduite à l’échelle du génome, portant sur le  fonctionnement de l’organisme, d’un organe, d’une pathologie… consiste à modifier le génome d’une cellule, qu’elle soit d’origine végétale, animale, ou humaine. Elle existe depuis une quarantaine d’années mais l’avènement de la technique CRISPR-Cas l’a rendue accessible à la plupart des Lire la suite…

Questions épistémologiques et éthiques sur les techniques appliquées au génome humain

Cet article de A. Ivasilevitch et P. Charlier vise à « dresser un tableau de l’ensemble des enjeux éthiques impliqués par les techniques de modification ciblée du génome. En particulier, lorsque celles-ci s’appliqueraient à un embryon humain, au titre de thérapies géniques germinales. » À lire dans la revue Ethics, Medicine and Lire la suite…