Un lanceur d’alerte dénonce les coulisses du suicide assisté en Suisse romande et révèle une faille de sécurité autour de la gestion du pentobarbital.

C’est un médicament mortel, classé comme stupéfiant, qui nécessite un contrôle rigoureux. Mais l’enquête de la RTS révèle qu’en Suisse romande, tout est basé sur la confiance accordée aux accompagnateurs de l’association Exit. Selon la directive des pharmaciens cantonaux, les doses létales devraient être conservées sous clé et retournées en officine en cas de non-utilisation (Source: RTS).

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