Comment l’IA peut révolutionner la santé en créant ses propres virus
Des scientifiques conçoivent des virus capables de détruire des bactéries résistantes et développent des IA capables de prédire plus de 1 200 maladies (Source: Le Point).
Des scientifiques conçoivent des virus capables de détruire des bactéries résistantes et développent des IA capables de prédire plus de 1 200 maladies (Source: Le Point).
À écouter dans l’émission La Terre au carré, du lundi 20 octobre 2025, présentée par Mathieu Vidard sur France Inter, «Bricolage du vivant: jusqu’où ira le génie génétique?», avec Jean-Baptiste de Panafieu, écrivain scientifique et biologiste.
Alors que la création d’une cellule miroir est encore bien lointaine, la communauté scientifique s’organise dès aujourd’hui pour encadrer les travaux de recherche et inventer une gouvernance (Source: Le quotidien du médecin).
Des chercheurs américains ont franchi un cap scientifique majeur: ils sont parvenus à créer des ovules humains viables à partir de cellules de peau. Cette avancée, encore expérimentale, pourrait bouleverser les traitements de l’infertilité et ouvrir la voie à des parentalités jusqu’ici impossibles (Source: Science et vie).
Certains biohackers rêvent d’un avenir où les greffes d’organes permettront aux humains de devenir immortels. Mais il existe encore des obstacles importants, dont un de taille: on ne peut pas encore greffer de cerveau humain (Source: National Geographic).
Les bioprocesseurs ont quitté le domaine de l’utopie. Des startups se sont engagées dans une course pour la fabrication commerciale de ce qu’elles appellent des « ordinateurs vivants » (Source: National Geographic).
Professeur émérite d’éthique médicale à l’Université Paris-Saclay, Emmanuel Hirsch a consacré sa carrière à penser les enjeux humains du soin, de la recherche biomédicale et des politiques de santé. Philosophe engagé dans la cité, il défend une éthique à la fois appliquée et impliquée, fondée sur la responsabilité, la concertation et la dignité (Source: Université Paris-Saclay).
Le Synthetic Human Genome Project, dont l’objectif est de créer un génome humain artificiel, vient de bénéficier d’une enveloppe de 10 millions de livres sterling pour alimenter ses travaux. Une perspective qui suscite autant d’espoirs que d’inquiétudes (Source: Le journal du geek).
À lire dans Le Monde, une tribune de Hervé Chneiweiss, Président du comité d’éthique de l’Inserm, et Jean-François Delfraissy, Président du Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé.
À lire, un article de Charles-Hervé Vacheron, Arnaud Friggeri, Maxime Lambert, Laura Shoonjans, Philippe Amiel intitulé «The French IRB Study: qualification des recherches soumises aux comités d’éthique», sous presse dans la revue Thérapies (mai 2025).