Les tests ADN cachent une industrie qui monétise nos données. En Suisse, elles sont souvent revendues à des pharmas sans encadrement légal.

Tout a commencé par une simple plaisanterie: Marina B. s’est demandé si elle avait des origines italiennes ou suisses. Elle a donc prélevé un échantillon de salive, l’a envoyé par la poste à un laboratoire et a attendu les résultats. Quelques mois plus tard, sa vie a basculé. À 36 ans, Marina B. rencontre son père pour la première fois (…) (Auteur: Moritz Marthaler via La Tribune de Genève).

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