Choisiriez-vous qu’une partie de votre corps continue d’exister après votre mort? Et comment ce choix pourrait-il affecter vos proches, voire toute votre communauté?
La première question se pose souvent à ceux qui donnent leurs organes. La seconde question se pose lorsqu’ils participent à des recherches génétiques. En effet, l’ADN d’un seul individu peut révéler un vaste réseau de relations, et même aider la police à résoudre des crimes commis par des parents éloignés qu’ils n’ont jamais rencontrés. Et plus on remonte dans le temps, plus ce réseau devient complexe (Auteures: Victoria Gibbon, Jessica C. Thompson et Sianne Alves via The Conversation).