Les pratiques psychomotrices mettent en jeu le coprs de la personne et, dans et par le mouvement, le choisissent comme voie d’accès privilégié au psychisme. Bien qu’elles accordent une place toute particulière au corps, son statut ne va pas de soi. Entre être et avoir, sujet et objet, intériorité et extériorité, le corps ne livre rien de son mystère. En misant sur l’unité psychosomatique de la personne incarnée, vivante, les pratiques psychomotrices doivent ainsi renoncer logiquement à en établir un corpus scientifique, sans vie.
Questions de santé mentale et de libertés au croisement des dilemmes soignants remontés aux espaces de réflexion éthique régionaux
À lire, un article de Cyril Hazif-Thomas, Cindy Donnart, et Marie-Hélène Tristchler-Le Maître intitulé «Questions de santé mentale et de libertés au croisement des dilemmes soignants remontés aux espaces de réflexion éthique régionaux», paru dans la revue L'encéphale (vol. 51, n°1, supp., fév. 2025).