Les pratiques psychomotrices mettent en jeu le coprs de la personne et, dans et par le mouvement, le choisissent comme voie d’accès privilégié au psychisme. Bien qu’elles accordent une place toute particulière au corps, son statut ne va pas de soi. Entre être et avoir, sujet et objet, intériorité et extériorité, le corps ne livre rien de son mystère. En misant sur l’unité psychosomatique de la personne incarnée, vivante, les pratiques psychomotrices doivent ainsi renoncer logiquement à en établir un corpus scientifique, sans vie.
Documentation en ligne
Convention citoyenne du CESE sur la fin de vie: retour sur la 7e session de délibération
À voir, la captation de la 7e session de délibération de la Convention citoyenne du CESE sur la fin de vie qui s'est tenue du 03 au 05 mars 2023 ouvrant la phase d'harmonisation et de restitution.