Aide à mourir: la HAS invite à évaluer la « qualité » de vie restante plutôt que sa « quantité »

La Haute autorité de Santé juge « impossible », faute de consensus médical, de déterminer qui pourrait bénéficier d’une aide à mourir en se basant sur un pronostic vital engagé « à moyen terme » ou sur une « phase terminale » de maladie, mais elle suggère de prendre en compte « la qualité du reste à vivre » de la personne (Source: France 24).

Le débat autour de la fin de vie revient à l’Assemblée avec deux textes distincts sur les soins palliatifs et l’«aide à mourir»

François Bayrou a souhaité cette scission en deux propositions de loi afin de permettre à tous de «pouvoir voter sur chacun de ces deux textes différemment». Les députés commencent l’examen des textes portés par Annie Vidal et Olivier Falorni, avec l’audition des ministres concernés (Source: Le Monde).