Aide à mourir: la HAS invite à évaluer la « qualité » de vie restante plutôt que sa « quantité »
La Haute autorité de Santé juge « impossible », faute de consensus médical, de déterminer qui pourrait bénéficier d’une aide à mourir en se basant sur un pronostic vital engagé « à moyen terme » ou sur une « phase terminale » de maladie, mais elle suggère de prendre en compte « la qualité du reste à vivre » de la personne (Source: France 24).









