Dans un communiqué, le Collège national des acteurs en soins infirmiers déplore l’absence de réelle concertation avec les infirmiers sur la question de la fin de vie et craint une évolution de la loi qui pousserait d’autant plus les professionnels à fuir le métier (Source: infirmiers.com).
La composition de la Convention citoyenne sur la fin de vie est révélatrice de cette tendance à laisser les 18-24 ans en marge d’un débat qui les concerne pourtant (Source: Slate).
Interrogé sur France 5 mercredi, le chef de l’État a déclaré que la réforme proposée ne concernera pas les enfants et certains patients (Source: France Info).
Emmanuel Hirsch, professeur émérite d’éthique médicale à l’université Paris-Saclay et auteur de « Devoir mourir, digne et libre », répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s’intéressent au débat sur la fin de vie (Source: Europe 1).
Alors qu’un projet de loi sur la fin de vie devrait être présenté fin février 2024, un rapport sur les soins d’accompagnement des patients en fin de vie a été remis au gouvernement. Le rapport répond à une demande de stratégie sur dix ans sur les soins palliatifs, la prise en charge de la douleur et l’accompagnement au sens large (Source: vie-publique.fr).
« L’aide active à mourir ne peut pas être effective en 2024, à partir du moment où le projet de loi sera présenté en février », a prévenu Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, ce mercredi sur franceinfo.
Emmanuel Macron a lancé, en septembre 2022, un débat sur la fin de vie. Faut-il légaliser l’aide active à mourir? Avec l’euthanasie? Le suicide assisté? Le président français doit présenter un projet de loi en décembre. Le magazine 15 Minutes est parti prendre le pouls des soignants et des malades (Source: RTS, Suisse).
Par son action sur le corps humain, la médecine constitue une transgression, qui doit être scrupuleusement encadrée. Dans cette perspective, plus de 80 médecins s’insurgent contre le projet de loi sur la fin de vie, qui constituerait une « brèche » dans une éthique médicale patiemment établie (Source: La Croix).
Le président de la République devait réunir, mardi 14 novembre, les ministres concernés par le futur projet de loi sur la fin de vie, un rendez-vous différé. Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran et le ministre de la santé Aurélien Rousseau ont réfuté tout recul sur le calendrier et le contenu du texte (Source: La Croix).
À retrouver dans L’édito politique de Yaël Goosz du 14 novembre sur France Inter, L’histoire, sans fin, de la loi «fin de vie».