Peu de questions sont aussi complexes et houleuses que celle de l’accompagnement des malades et de la fin de vie — sur laquelle se penchent ces jours-ci les législateurs français. Plutôt que d’en parler trop abstraitement ou de ne raisonner qu’à partir des cas limites, il est plus utile de partir de ce que nous savons: les données et l’état du droit positif à l’échelle mondiale. Louis-Charles Viossat brosse un tour d’horizon.
En France, les discussions parlementaires sur le projet de loi sur l’accompagnement des malades et de la fin de vie — interrompues abruptement par la dissolution hasardeuse de l’Assemblée nationale — ont repris en commission des affaires sociales le mardi 25 mars (Auteur: Louis-Charles Viossat via Le grand continent).