À écouter dans l’émission Interception du 30 mars 2025, sur France Inter, «Fin de vie: quand la mort est clandestine», un «reportage sur le suicide assisté, pratiqué en toute illégalité en France par des citoyens et des citoyennes: [dans] l’attente d’une nouvelle législation, ils choisissent d’aider un parent ou un proche à mourir dans la clandestinité.»
Un « survol de la géopolitique de la mort et des systèmes de la mort au Nord et au Sud » à travers le monde, par Louis-Charles Viossat, dans la revue « Le grand continent ».
À écouter dans L’invité de 8h20: le grand entretien du 20 mars 2025, présentée par Nicolas Demorand et Léa Salamé sur France Inter: Claire Fourcade, présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs, et auteure de « Journal de la fin de vie », aux éditions Fayard, s’exprime sur la proposition de loi sur la fin de vie examinée par le Parlement en mai.
Devenue paraplégique depuis une tentative de suicide en 2022, une jeune femme a demandé à la justice de mourir, l’euthanasie étant légalisée en Espagne depuis 2021 (Source: 20 Minutes).
Un reportage de France 24 en Belgique à la résidence Pass-ages, où « les premiers cris s’entremêlent avec les derniers souffles ».
Les propositions de loi sur les soins palliatifs et sur l’aide à mourir ont été déposées cette semaine à l’Assemblée nationale. L’une, sur les soins palliatifs, sera portée par Annie Vidal (Ensemble pour la République) ; l’autre, sur l’aide à mourir, sera portée par Olivier Falorni (Les Démocrates). Elles seront examinées dans l’hémicycle au mois de mai (Source: LCP).
Patrick Mignola, le ministre des relations avec le Parlement, a fait savoir que les deux textes feraient l’objet de propositions de loi par les députés, et non de projets de loi venant du gouvernement (Source: Le Monde).
La position de François Bayrou « est très claire : il y aura deux textes », l’un sur les soins palliatifs, l’autre sur l’aide active à mourir, a dit Sophie Primas, jeudi, après les déclarations de la ministre de la santé, Catherine Vautrin, qui a marqué sa préférence, comme celle de l’Elysée, pour un seul texte (Source: Le Monde).
Ces deux textes, qui seraient examinés «dans une même temporalité parlementaire», porteraient l’un sur les soins palliatifs, l’autre sur l’aide à mourir, selon l’Agence France-Presse (Source: Le Monde).