Deux ans après son entrée en vigueur, la loi Claeys-Leonetti « créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie » a-t-elle atteint son objectif? Meurt-on moins mal en France depuis la création par cette loi d’un droit à « dormir avant de mourir pour ne pas souffrir », grâce à la délivrance, sous certaines conditions, d’une sédation profonde et continue jusqu’au décès?

Dans un rapport publié lundi 11 juin, l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) dresse un premier bilan « encourageant » de la mise en œuvre du texte, qu’elle juge « positive mais contrastée ». Elle formule à cette occasion trente recommandations pour une application « plus homogène » et « plus rigoureuse » (Source: Le Monde).

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