Des chercheurs australiens ont révélé que des centaines d’études sur des greffes d’organe en Chine avaient probablement utilisé, sans le préciser, des organes de prisonniers exécutés, ce qui est contraire aux règles éthiques, raconte le Guardian. Dans leur article publié dans la revue médicale BMJ Open, Wendy Rogers et Matthew Robertson appellent au retrait de plus de 400 études scientifiques soupçonnées d’avoir utilisé des organes prélevés sur des prisonniers chinois sans leur consentement (Auteure: Claire Levenson via Slate).

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