L’essor des neurosciences est tel aujourd’hui que nous pourrions craindre d’être épiés dans ce que nous avons de plus intime : nos pensées. Quelles conséquences ça aurait devant un tribunal, ou même un agent d’assurances ?

John Aspler, candidat au doctorat à l’Université McGill et Jennifer Chandler, professeure à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, ont répondu à l’appel de Jocelyn Maclure, président de la Commission de l’éthique en science et en technologie du Québec, pour présenter l’état de la recherche et les nuances qui s’imposent en matière de neuroéthique.

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