Cet article est publié dans le cadre de la journée d’études clôturant le séminaire « La médecine confrontée aux limites », tenu dans le cadre du département Éthique biomédicale du Collège des Bernardins.

Depuis plus d’un siècle, les progrès disruptifs de la médecine, de la chirurgie, de la biologie ou de l’imagerie ont considérablement amélioré l’espérance de vie ainsi que la qualité des soins apportés aux malades, à leurs familles et à la société.

Les découvertes qui ont émergé dans le sillage des travaux de Louis Pasteur, « inventeur » du vaccin contre la rage, et de Robert Koch, découvreur du bacille de la tuberculose, ont permis de faire reculer de nombreuses maladies infectieuses. En mettant au point de nouvelles technologies, des physiciens, des chimistes, des biologistes, des informaticiens, ont fait progresser le diagnostic (grâce aux techniques d’imagerie, par exemple) et la prise en charge (notamment grâce aux progrès de la chirurgie et aux résultats de la recherche biomédicale) (Auteure: Véronique Lefebvre des Noëttes via The Conversation)

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