Le modèle de Montréal, initié en 2010, prône une relation d’égal à égal entre les professionnels de la santé et les malades. Il a fait des émules partout dans le monde, y compris en Suisse, où les rôles sont redéfinis.

Aujourd’hui, rares sont les personnes qui ne se documentent pas sur internet sur le mal qui les affecte et les traitements existants. La suprématie du médecin est, par la force des choses, ébranlée. Exit donc le modèle paternaliste en vigueur il y a quelques décennies. Désormais, le corps médical et la patientèle interagissent de manière plus transversale. Et c’est une bonne chose (Source: planetesante.ch).

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