C’est une minorité. Autour de 11 % des Français, soit une personne sur dix, écrit des directives anticipées, ces consignes à suivre par le monde médical dans l’hypothèse où elle ne serait plus en état de donner son consentement.

C’est ce que révèle un sondage BVA, qui a été présenté mardi au ministère de la Santé à l’occasion d’une journée sur les directives anticipées organisée par le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (Source: Libération).

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Retrouvez à ce sujet notre vidéo, par le Dr Pierre-Marie Bertrand, du C.H. de Cannes

 

 

 

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