À peine un an après la création d’une chimère homme-porc, des chercheurs américains ont annoncé avoir développé un embryon de mouton constitué de 0,01 % de cellules humaines. Si elle pose question en matière d’éthique, cette avancée rapproche les scientifiques de la possibilité de greffer sur l’Homme des organes issus d’animaux hybrides en pleine pénurie de greffons (Source: Ouest-France).
Aide à mourir: la HAS invite à évaluer la « qualité » de vie restante plutôt que sa « quantité »
La Haute autorité de Santé juge "impossible", faute de consensus médical, de déterminer qui pourrait bénéficier d'une aide à mourir en se basant sur un pronostic vital engagé "à moyen terme" ou sur une "phase terminale" de maladie, mais elle suggère de prendre en compte "la qualité du reste à vivre" de la personne (Source: France 24).