À peine un an après la création d’une chimère homme-porc, des chercheurs américains ont annoncé avoir développé un embryon de mouton constitué de 0,01 % de cellules humaines. Si elle pose question en matière d’éthique, cette avancée rapproche les scientifiques de la possibilité de greffer sur l’Homme des organes issus d’animaux hybrides en pleine pénurie de greffons (Source: Ouest-France).

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