Une réflexion sur « l’opportunité de prévoir des évolutions dans le domaine de la fin de vie dans le cadre des révisions des lois de bioéthique », par Laurence Nicolas-Vullierme
, Aline Cheynet de Beaupré , et Diane de Saint-Affrique«Psychiatrie: il faut abolir la contention des malades»
Alors que plus personne ne lui prête la moindre vertu thérapeutique, la contention continue d’être utilisée avec des justifications qui vont du manque de personnel à la sécurité des patients ou des soignants (Source: Le Monde).