Un article d’Andrée Sévigny, Héloïse Baril-Nadeau, Patrick Durivage, Johanne Desrochers, Tanguy Châtel, Serge Dumont et Alain-Philippe Lemieux, intitulé « Pouvoir bien finir sa vie chez soi : une délégation québécoise en France » et paru dans la revue Jusqu’à la mort accompagner la vie 2019/1 (N° 136), dont voici le résumé:

« Afin d’optimiser, pour les personnes qui le souhaitent, la possibilité de finir leur vie à domicile, le Québec, tout comme la France, est confronté à la nécessité de faire évoluer son modèle de soins palliatifs et d’accompagnement psychosocial de fin de vie. À cet égard, bien que les contextes culturels et leurs environnements sociaux soient différents, les deux milieux font face à des enjeux sanitaires, sociaux, économiques et éthiques similaires. Pensons, entre autres, à l’épuisement des proches aidants, à l’isolement social ou aux limites du bénévolat.

Pouvoir bien finir sa vie à domicile repose sur deux piliers indissociables : des soins palliatifs adaptés au lieu de vie et de qualité similaire à ceux offerts à l’hôpital (pilier sanitaire) et un accompagnement solidaire ancré dans le milieu (pilier social). Le premier pilier a déjà fait l’objet d’une étude comparative entre la France et le Québec qui s’est concrétisée par des retombées pratiques en ce qui a trait à la prise en charge sanitaire (Dumont et al., 2017). Le second pilier a fait l’objet d’un deuxième projet qui fait l’objet de cet article. Après une brève description du projet, l’article présente des initiatives françaises qui ont retenu l’attention d’une délégation formée de trois experts québécois, lors d’un séjour d’exploration menée, en France, au mois d’avril 2018. Puis, cet article mentionne en quoi ces initiatives peuvent inspirer les Québécois et il présente des conditions qui peuvent favoriser la réalisation des initiatives françaises en terre québécoise. Espérant que ces quelques éléments de réflexion pourront aussi être utiles à nos collègues français. »

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