Interdite en France, la procréation médicalement assistée post-mortem consiste à réaliser une PMA après le décès du conjoint, sous forme d’insémination de sperme ou d’implantation d’un embryon conçu avec les gamètes du couple, puis congelé avant le décès de l’homme.

Après plus de trois heures de débats divisant largement la majorité, l’Assemblée a rejeté de justesse jeudi l’autorisation d’une PMA post-mortem, avec les gamètes d’un conjoint décédé, lors de l’examen en première lecture du projet de loi bioéthique.

Interdite en France, la procréation médicalement assistée post-mortem consiste à réaliser une PMA après le décès du conjoint, sous forme d’insémination de sperme congelé ou d’implantation d’un embryon congelé avant le décès du conjoint. Le gouvernement a exprimé à plusieurs reprises son opposition à cette mesure, qui ne figure pas dans le projet de loi mais était défendue dans des amendements de la majorité comme de l’opposition. Après un débat empreint de gravité sur ces situations rarissimes mais «douloureuses, cruelles», les parlementaires ont finalement voté contre les différents amendements, le score le plus serré étant de 60 voix contre 51 pour un amendement LREM (Source: Le Figaro).

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