À lire dans Slate, la journaliste Alice Raybaud suit Émeline, 35 ans, donneuse d’ovocytes:
« Son kit d’injection, Émeline l’emmène partout avec elle. Une seringue, un tube de liquide et… une ordonnance, «au cas où on me prenne pour une junkie», plaisante-t-elle.
Quand nous rencontrons la directrice marketing de 35 ans dans un café de la Défense, près de Paris, elle est en pleine procédure pour donner ses ovocytes.
Tous les après-midi, elle s’administre une dose d’hormones, direct dans le bide et en plein open space –une stimulation hormonale destinée à faire grossir ses follicules, contenant les ovocytes qui seront ensuite prélevés. »