À lire, un article de E. Laporte et J.-E. Bazin paru dans la revue Éthique et santé intitulé « Greffe rénale à partir d’un donneur vivant : la liberté du patient de disposer de son corps face au sentiment de dette« , et disponible en ligne en intégralité.
En voici le résumé:
« Dans le cadre d’un projet de greffe rénale à partir d’un donneur vivant, le patient est susceptible d’éprouver un sentiment de dette complexe envers ses proches, dont, particulièrement, la personne qui propose de donner un rein. Les impacts sur l’autonomie de la personne soignée, sur sa liberté de disposer de son corps, peuvent s’avérer à la fois néfastes et bénéfiques. Une réflexion paraît donc essentielle pour déterminer les différents paramètres de la dette et envisager des pistes éventuelles favorisant ses aspects positifs et limitant ses conséquences délétères. »