« Il n’existe que peu, voire pas de différence de risque pour la femme avortant entre 12 et 14 semaines de grossesse », fait valoir l’institution, après l’approbation de cette réforme par les députés.
Le feu est vert. « Il n’y a pas d’objection éthique à allonger le délai d’accès à l’IVG », en le portant de 12 à 14 semaines de grossesse, a estimé, vendredi 11 décembre, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE), saisi par le gouvernement après l’approbation de cette réforme par les députés (Source: France Info).