L’intelligence artificielle (IA) offre un potentiel pour améliorer la santé de millions de personnes à travers le monde, mais seulement si l’éthique et les droits humains sont ramenés au cœur de sa conception et de son utilisation. Autant dire que ce n’est pas gagné d’avance.

C’est la réflexion qui se dégage d’un document « d’orientation » de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur « l’éthique et la gouvernance de l’IA pour la santé », publié le 28 juin. Il y aura, lit-on dans l’introduction, des conséquences potentiellement négatives « si les principes éthiques et les obligations des droits humains ne sont pas des priorités pour ceux qui financent, conçoivent, réglementent ou utilisent des technologies d’IA pour la santé » (Source: Agence Science Presse).

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