Pour lutter contre les violences gynécologiques, le CCNE estime que le consentement des patientes « ne doit plus être tacite ou présumé » lors des examens.
Une position forte pour lutter contre les violences gynécologiques. Les examens médicaux touchant à l’intimité doivent faire l’objet d’un « consentement revisité », plaide un avis publié ce mercredi 29 mars par le Comité consultatif national d’éthique (CCNE), estimant que l’accord des patientes ne doit plus être tacite ou présumé.
Le consentement lors des examens gynécologiques doit être « explicite et différencié pour chaque examen pratiqué durant une consultation », souligne cet avis (Source: Huffington Post).