C’est un cas de conscience complexe qui s’est posé aux médecins d’un hôpital de Floride, aux États-Unis. Récemment, ils ont décidé d’arrêter les soins sur un patient dont le torse était barré d’un tatouage « ne pas réanimer ». L’homme est décédé, et la même mention demandant de ne pas procéder à sa réanimation a finalement été retrouvée dans son dossier médical.
Comment aurait-on réagi en France? Quelles questions éthiques cela pose-t-il? Un simple tatouage peut-il être considéré comme la preuve de la volonté d’un individu de faire cesser des soins? (Source: L’Express)