La Suisse compte une centaine de biobanques collectant des échantillons biologiques à des fins de recherche scientifique. Pivots centraux de la médecine personnalisée, ces entités font encore face à plusieurs difficultés, comme l’explique Christine Currat, directrice de la Swiss Biobank Platform.

C’est l’un des chaînons essentiels à l’avancée de la génomique et de la médecine personnalisée. Derrière les portes de leurs imposants congélateurs, les biobanques peuvent conserver jusqu’à des centaines de milliers d’échantillons biologiques humains (tissus, sang, salive, urine), à des fins de recherches ciblées ou pour mener des études épidémiologiques sur de larges cohortes afin d’appréhender, par exemple, l’impact de l’environnement ou du style de vie sur la santé de la population (Auteure: Sylvie Logean via Le Temps).

Lire la suite