Quelques jours après la décision de la Cour de cassation, le CHU de Reims a annoncé enclencher le processus.

C’est le «point final» qu’attendait depuis vendredi l’épouse de Vincent Lambert, tout comme une partie de sa famille. Le médecin de ce patient tétraplégique, en état de conscience minimale depuis plus de dix ans, a engagé mardi un nouvel arrêt des traitements, rendu possible par la décision de la Cour de cassation. Lundi, depuis Genève, la mère de celui qui est devenu le symbole du débat sur la fin de vie en France avait lancé «un appel au secours» devant le Comité des droits de l’homme de l’ONU: «Je vous supplie d’intervenir auprès de la France pour lui rappeler son obligation de respecter les mesures conservatoires prescrites par le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH), s’était-elle écriée. On veut l’assassiner!» (Auteur: Stéphane Kovacs via Le Figaro).

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