Les mesures de contrôle de confinement s’accentuent, les autorités sont désormais plus sévères. Le gouvernement parle même de géolocalisation afin de retracer les déplacements de personnes infectées, un outil qu’il faut utiliser avec «beaucoup de prudence».

Jocelyn Maclure est professeur à la Faculté de philosophie de l’Université Laval et préside la Commission de l’éthique en science et technologie du Québec. Il travaille actuellement sur l’enjeu éthique que peuvent soulever de telles technologies de géolocalisation, utilisées pour traquer les individus.

«C’est difficile d’en parler de façon générale, il faut en savoir plus sur les projets d’application», indique d’entrée de jeu le professeur.

Si un tel projet venait à voir le jour, les façons d’utiliser les données devront être expliquées dans les moindres détails (Auteure: Judith Desmeules via Le Soleil).

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