Ces documents, qui permettent à un patient d’exprimer sa volonté ou non d’être maintenu en vie au cas où il ne serait plus conscient, peuvent être «inappropriées» à la situation médicale, a jugé le Conseil constitutionnel.

C’est une affaire à front renversé des débats actuels sur l’euthanasie et le suicide assisté. Une question inédite qui donne un autre éclairage sur la complexité de toute réflexion concernant la fin de vie. Saisi d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur le cas d’un patient ayant exprimé le souhait d’être maintenu en vie à tout prix, même artificiellement, le Conseil constitutionnel a validé jeudi la loi Leonetti-Claeys de 2016 (Auteure: Agnès Leclair via Le Figaro).

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