L’organe de l’animal a été génétiquement modifié avant la xénogreffe, afin d’amoindrir le risque de rejet par le corps humain.

Il s’agit d’une première qui représente un nouveau pas vers une potentielle solution à la pénurie chronique de dons d’organes. Des chirurgiens ont transplanté le rein d’un porc génétiquement modifié sur un patient, a annoncé jeudi 21 mars un hôpital américain (Source: Le Monde).

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