La ministre de la santé a été auditionnée lundi par la commission spéciale sur ce texte qui donne la possibilité à certains patients de se suicider et, quand ils sont incapables d’accomplir le geste fatal, de le faire pour eux.
A l’ouverture des travaux de la commission spéciale de l’Assemblée nationale, lundi 22 avril, sur le projet de loi « fin de vie », la ministre de la santé, Catherine Vautrin, a appelé les députés à avoir un débat parlementaire qui se déroule dans « un esprit d’humanité, d’écoute et de respect ».
Après avoir évoqué « une certaine impatience dans notre société d’avoir » ces discussions, la ministre de la santé a mis en avant la volonté, avec ce texte, de « répondre aux souffrances insupportables de quelques personnes auxquelles la loi en vigueur n’apporte pas de réponses suffisantes » mais aussi la « recherche d’équilibre » (Source: Le Monde).