Comment notre société devrait-elle prendre en charge la recrudescence des situations de dépendance et de perte d’autonomie au sein d’une population dont la longévité augmente ?

Un constat s’impose : aujourd’hui le « grand âge » s’accompagne souvent de mise à l’écart, de prise en charge inadaptée, d’une souffrance des personnes elles-mêmes et de leurs accompagnants.

La question du vieillissement est sociale, médicale, économique. Elle est également éthique.

C’est la raison pour laquelle le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) s’est autosaisi en octobre 2016 de cette question et rend aujourd’hui son 128ème avis.

Ce dernier est le fruit d’une réflexion commune au Comité, Comité qui réunit entre autres médecins, scientifiques, juristes et philosophes à l’instar de ses deux rapporteurs les Prs Régis Aubry (médecin spécialiste des soins palliatifs) et Cynthia Fleury (philosophe et psychanalyste).

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Lire l’avis n°128 du CCNE

Écouter l’entretien du 17 mai 2018 de Régis Aubry sur France Inter