Le tribunal correctionnel d’Angers a mis hors de cause un vétérinaire, poursuivi pour avoir rédigé de fausses ordonnances pour permettre à l’un de ses amis, atteint de la maladie de Charcot, de mettre fin à ses jours. Une décision rare, basée sur «l’état de nécessité», qui pourrait s’inviter dans les prochains débats sur la fin de vie promis par Emmanuel Macron.

eu de bruit, pas de fracas, mais une décision rare. Lundi, le tribunal correctionnel d’Angers a relaxé un vétérinaire qui était jugé pour «faux et usage de faux» après avoir rédigé de fausses ordonnances. Lesquels documents falsifiés devant permettre à l’un de ses amis atteint de la maladie de Charcot de se procurer des médicaments létaux normalement dédiés aux animaux, et mettre ainsi fin à ses jours (Auteure: Juliette Delage via Libération).

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