Les citoyens tirés au sort pour réfléchir à la fin de vie se sont prononcés pour le suicide assisté ou l’euthanasie. A condition, notamment, de s’inscrire dans un processus formalisé et contrôlé.

C’est une première ébauche d’un modèle « à la française ». Les membres de la convention citoyenne sur la fin de vie ont voté, dimanche 19 mars, une série de propositions esquissant ce que pourrait être le parcours d’accès à « l’aide active à mourir » (AAM) en France, si le Parlement donnait son feu vert à l’euthanasie ou au suicide assisté. Favorables à 71% à une telle autorisation sous conditions, les « conventionnels » ont dessiné un parcours strictement encadré, soumis à une procédure collégiale et supervisé par une commission de contrôle (Auteur: Yann Thompson via France Info).

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