« Le cadre de l’accompagnement de la fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits dans le cadre actuel de la fin de la vie ? » C’est la question à laquelle devaient répondre les 185 personnes tirées au sort pour participer à la convention citoyenne sur la fin de vie. Les premières délibérations tendent vers un avis favorable à l’aide active à mourir bien que les propositions doivent être encore affinées et les conclusions attendues pour le 2 avril.

Ce débat pose certes le problème de la mort (le mourir qui mène à être mort), mais aussi de la vie qui s’achève (la fin de la vie). Or, pour le moment, il n’y a pas en France de vision de fond qui soit structurée culturellement (Auteure: Marie-Frédérique Bacqué via The Conversation).

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