Un billet de blogue sur l’autoconservation des gamètes, signé Benjamin Moron-Puech, doctorant en droit et chargé de recherche au CNRS, « pointe du doigt une difficulté d’application de ce dispositif à la situation des personnes transgenre et/ou intersexuées qui décideraient, de leur plein gré, d’entrer dans un parcours médical de transition et qui s’exposeraient dès lors à des traitements susceptibles de remettre en cause leur fertilité ».

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