Pourquoi les équipes médicales décident-elles dans certains cas de ne pas proposer une alimentation artificielle à des patients en fin de vie? Ces derniers en souffrent-ils? Le décryptage d’Antoine d’Abbundo, chef de la rubrique bioéthique à La Croix.

C’est l’un des arguments qui revient régulièrement dans le débat sur la fin de vie, du côté des partisans de l’aide active à mourir: des familles racontent leur traumatisme, d’avoir vu des proches agoniser, privés de manger et de boire. Elles évoquent une mort indigne, dans la souffrance et la privation. Est-ce une réalité, aujourd’hui, en France? Laisse-t-on vraiment des personnes mourir de faim et de soif dans nos hôpitaux? (Source: La Croix).

Lire la suite