Outre l’entrée en vigueur de cette disposition, un autre décret est paru sur les conditions pour bénéficier d’une assistance médicale à la procréation et de l’autoconservation de ses gamètes.
Olivier Véran a annoncé le déblocage de 8 millions d’euros afin de réduire l’attente pour obtenir une PMA en France.
« Les données de santé en recherche: enjeu de la bioéthique », une vidéo explicative de Marie-Aline Charles, Directrice de recherche à l’Inserm et coordonnatrice de la cohorte nationale d’enfants Elfe, publiée par l’Institut national d’études démographiques.
Le Sénat a rejeté ce 24 juin le projet de loi de bioéthique, qui ouvre l’assistance médicale à la procréation (AMP ou PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules, en esquivant une discussion in extenso du texte.
Le projet de loi ne sera finalement pas examiné en troisième lecture, au Palais du Luxembourg. « Nous ne sommes pas écoutés. »
Pénurie de sperme, manque de moyens financiers et humains… Franceinfo a interrogé des directeurs et directrices de centres de PMA, pour comprendre comment ils et elles se préparent à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes.
Le ministre de la Santé a donné le coup d’envoi des débats en nouvelle lecture sur ce projet de loi qui doit ouvrir également la procréation médicalement assistée aux femmes seules.
Un psychanalyste, une juriste et une sociologue à retrouver dans l’émission « Le temps du débat » sur France Culture, présentée par Chloë Cambreling, autour du thème « Le projet de loi bioéthique bouleverse-t-il la filiation? »
Un texte de Bernard Stirn, membre de l’Académie des sciences morales et politiques, intitulé « Naissance et procréation: éthique et droit », à l’heure de l’examen du projet de loi de bioéthique.
L’Assemblée nationale démarre, lundi, l’examen en troisième lecture du projet de loi de bioéthique qui doit permettre l’ouverture de la PMA à toutes les femmes. Le texte retournera au Sénat le 24 juin, avant une adoption probable en juillet.