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Fin de vie: choisir sa mort doit-il être un droit?
A écouter sur France Inter, « Fin de vie: choisir sa mort doit-il être un droit? » en compagnie de Marion Broucke, Emmanuel Hirsch, et Philippe Loheac.
A écouter sur France Inter, « Fin de vie: choisir sa mort doit-il être un droit? » en compagnie de Marion Broucke, Emmanuel Hirsch, et Philippe Loheac.
Atteint d’une maladie incurable, le Dijonnais est mort dans un suicide assisté en Suisse. Il avait déjà tenté de cesser ses soins en septembre et en octobre.
A retrouver dans l’émission « Répliques », présentée par Alain Finkielkraut sur France Culture, « la question de l’euthanasie et le suicide assisté », en compagnie du professeur Didier Sicard, ancien président du Comité national consultatif d’éthique (CCNE).
A toujours évoquer la dignité quand il s’agit de la mort choisie et anticipée, on finira par ancrer dans l’inconscient collectif que seule cette façon de mourir est respectable, écrit un collectif de médecins et soignants.
Un texte ouvrant le droit à une « assistance médicalisée active à mourir » pour des personnes souffrant d’une maladie incurable était examiné le 08 avril 2021 à l’Assemblée nationale. Le professeur Régis Aubry, spécialiste de l’éthique et de la fin de vie, répondait en direct aux questions des lecteurs du Monde.
A retrouver dans l’émission L’heure bleue, présentée par Laure Adler sur France Inter, un entretien avec Didier Sicard, président du Comité consultatif national d’éthique de 1999 à 2008, au sujet de la proposition de loi n°3755 « visant à affirmer le libre choix de la fin de vie et à assurer un accès universel aux soins palliatifs en France ».
L’auteur de la proposition, le député Olivier Falorni, dénonce une tentative « d’obstruction parlementaire ».
Si des clivages se sont fait sentir, de nombreux orateurs ont toutefois salué un débat «digne» et «respectueux» des opinions de chacun.
La loi a été approuvée, jeudi, à une très large majorité par le Parlement espagnol. Elle permet à un patient atteint de maladie incurable de mettre fin à ses souffrances.
Les sénateurs ont voté pour permettre aux Canadiens de demander l’aide médicale à mourir de manière anticipée si ces personnes craignent de perdre leurs facultés mentales au moment de prendre cette décision délicate.